SPORT UMP UN DEFI

Une majorité présidentielle

Les législatives approchent à grand pas...tandis que la droite et le centre poursuivent leurs derniers efforts dans la bataille des députations, la gauche reste immobile. Rien d'étonnant après la déblacle du 6 mai 2007. Cependant, il nous faut une forte opposition à l'assemblée nationale (non non ce n'est pas de l'ironie ! ) pour permettre le débat et les consultations. Je me demande donc où sont en ce moment les dirigeants socialistes (à part F.HOLLANDE dernier combattant à la mine bien ternie par la défaite...) ? Ou se cache donc Ségolène Royal ? Chez elle nous dit-on, en Charente Maritime. Il faudrait peut-être vous engager Mme ROYAL, la bataille politique des idées est loin d'être terminée, elle débute seulement.

ECOUTEZ! Laissez-vous bercer...

Hommage et morale...souvenir

Lettre de Guy Môquet (1941)

Voici la lettre écrite par Guy Môquet à la veille de sa mort le 22 octobre 1941, alors âgé de dix-sept ans et demi.Nicolas Sarkozy, Le président de la République, vient d’annoncer lors de la passation du pouvoir son souhait de lire cette lettre désormais dans les lycées à chaque rentrée des classes.

« Ma petite maman chérie,
mon tout petit frère adoré,
mon petit papa aimé,

Je vais mourir ! Ce que je vous demande, toi, en particulier ma petite maman, c’est d’être courageuse. Je le suis et je veux l’être autant que ceux qui sont passés avant moi. Certes, j’aurais voulu vivre. Mais ce que je souhaite de tout mon cœur, c’est que ma mort serve à quelque chose. Je n’ai pas eu le temps d’embrasser Jean. J’ai embrassé mes deux frères Roger et Rino. Quant au véritable je ne peux le faire hélas ! J’espère que toutes mes affaires te seront renvoyées elles pourront servir à Serge, qui je l’escompte sera fier de les porter un jour. À toi petit papa, si je t’ai fait ainsi qu’à ma petite maman, bien des peines, je te salue une dernière fois. Sache que j’ai fait de mon mieux pour suivre la voie que tu m’as tracée.

Un dernier adieu à tous mes amis, à mon frère que j’aime beaucoup. Qu’il étudie bien pour être plus tard un homme.

17 ans 1/2, ma vie a été courte, je n’ai aucun regret, si ce n’est de vous quitter tous. Je vais mourir avec Tintin, Michels. Maman, ce que je te demande, ce que je veux que tu me promettes, c’est d’être courageuse et de surmonter ta peine.

Je ne peux en mettre davantage. Je vous quitte tous, toutes, toi maman, Serge, papa, en vous embrassant de tout mon cœur d’enfant. Courage !

Votre Guy qui vous aime

Guy

Dernières pensées : Vous tous qui restez, soyez dignes de nous, les 27 qui allons mourir ! »

Un gouvernement au travail !

C'est avec beaucoup d'agitation de la part des journalistes, que la composition du gouvernement se précise avec notamment la nomination hier de François FILLON. Sénateur et ancien ministre, M.FILLON endosse la rude tâche de premier ministre, pour mettre à bien le projet présidentiel. Son courage, sa ténacité et sa capacité de négociation font de lui, l'homme de la situation. Comme il le souligne "la France peut supporter la vérité..."
Aujourd'hui, les postes se précisent, le secrétaire général de l'Elysée M.Guéant devrait annoncer sans surprise les nominations aux différents ministères. Un gouvernement rapproché, respectant la parité et l'efficacité. L'intérêt général est servi, au-delà des simples sentiments...Messieurs les députés, sénateurs ou anciens ministres engagez -vous dans les législatives...!

La passation des pouvoirs

Alors que la passation de pouvoir a eu lieu, le président SARKOZY entame déjà son premier voyage à l'étranger en ALLEMAGNE. Quel signe fort adresse-t-il à l'Europe et par là même à l'ALLEMAGNE. Les cérémonies d'aujourd'hui ont laissé un sentiment d'honneur, de fierté et d'émotion, tant les mots et les attentions du président étaient remplies d'humanité.

Souhaitons au président bonne chance, qu'il agisse vite et avec exigence, comme sur la ligne de conduite de son projet pour la France.
Vive la république,vive le président, vive la France !

VICTOIRE !

Résultats définitifs: N.SARKOZY l'emporte avec 53,06  %

Mme Royal remporte  46,94 % des voix

Tout devient possible... enfin on l'espère !

 

Dimanche 6 mai VOTEZ SARKOZY

Alors que les dernières passes d'armes se sont faites de part et d'autres, les sondages confirment la nette avance du candidat UMP. Cependant, il ne faut faire confiance qu'à un seul sondage : le suffrage des français dimanche 6 mai 2007. Rassemblons-nous derrière notre candidat le seul capable avec son entourage de relever la France.
D'ailleurs il parait que M. Claude Allègre se serait entretenu avec M. FILLON, y aurait-il des propositions de ministère de l'éducation nationale ? De toute façon M. ALLEGRE ne votera pas pour Mme ROYAL, c'est une bonne chose... d'autant qu'à gauche M.ALLEGRE fait partie des politiques les plus ambitieux pour le projet de l'éducation nationale...à voir...

Ségolène Royal, la championne de la GLOBALITE !

A l'heure ou les langues se délient pour analyser, critiquer, soulager ou même soutenir la candidate, certains points restent à éclaircir.
La prestation des candidats fut somme toute intéressante pour constater que chacun jouait un rôle bien différent. Nicolas SARKOZY égal à lui même, concentré, lucide, pédagogique et utilisant des arguments concrets. Ségolène ROYAL, pugnace, n'a rien lâché, s'est même emportée, sans doute par sa fougue de cinquante ans !
Cependant, il utile de constater que Mme ROYAL n'a pu rester loyale et pour ainsi dire s'est même comportée d'une manière assez impertinente ! Sans doute a-t-elle usé d'armes qui pencheraient en sa faveur !
Quelques exemples ici et là de sa pauvreté politique : Mme ROYAL ne peut rien décider sans les partenaires sociaux (heureusement qu'ils existent ceux-ci !), quelle tristesse lorsque l'on s'aperçoit qu'elle n'a guère de chiffres à proposer (retraites, fiscalité...)

Mme ROYAL est irresponsable lorsqu'elle souhaite partager les richesses en travaillant seulement 35 heures (voire même 32 heures !),  quel dynamisme pour ce pays !

Ah, Mme ROYAL veut tout remettre à plat et écouter...la France a besoin d'un président qui agit et qui sait à l'avance quelles mesures rapides engager pour sortir le pays de l'impasse.

Elle parle des professeurs comme les "hussards de la république", aurait-elle peur qu'ils ne votent pas pour elle ?

Sur la fiscalité et les retraites Mme ROYAL ne s'engage pas, elle va voir, par contre elle vilipende, harcèle de mots et d'autres toujours dans un flou artistique...!
Enfin Mme ROYAL est la championne de la globalité, elle prévoit en gros, dans une juste mesure, avec les syndicats et les référendum ! Pas mal pour une responsable politique, j'espère au moins que sa région Poitou- Charente n'est pas gérée de la sorte, car c'est grave !

Pour conclure, j'ose la métaphore : ici nous voilà à J-3 , c'est comme à la Star Académie, plus on avance dans le temps moins il y a de candidat performant. Le seul qui reste lucide et courageux reste Nicolas SARKOZY, alors ne vous trompez -pas, la France a besoin d'un battant pas d'une battue ...

Ségolène ROYAL ou le monopôle de la culture !

Scandaleux, inadmissible, une fois de plus la gauche illustre sa parfaite tendance à maximaliser l'étroite relation qu'elle entretient avec le monde du spectacle... Son meeting du 1er mai 2007 illustre parfaitement la récupération idéologique des artistes pour les adouber dans son camp. Pourquoi depuis tant d'années, la gauche s'approprie le monde des artistes ? La droite n'aime t-elle pas également les artistes ? Pourquoi Jack LANG se glorifie de son réseau d'artistes ? Néanmoins les électeurs ne sont pas dupes, il ne suffit pas de faire la fête avec des artistes et faire revenir ou revivre le spectre de mai 1968, pour préférer l'élection de Mme ROYAL ! Il n'y a qu'à constater l'extrème pauvreté des débats de la gauche lors des différents face à face télévisés de ces derniers jours...notamment ce lundi 30 avril 2007 avec M. De Montebourg sur France2 ! Des mots, que des vociférations mais peu de réponses claires, lucides et responsables ! Enfin les électeurs français jugeront mais il ne faut pas se tromper de projet de société : pas de conservatisme et d'assistanat et plus de travail et de responsabilité morale !

Les mesures envers le SPORT

Dans le projet politique de Nicolas SARKOZY le sport a une forte place, ici je vous en livre quelques points...

Mi-temps sportif             

Si les épreuves sportives continuent à avoir les plus petits coefficients, il ne fait pas s’étonner que les familles regardent le sport comme une anecdote.

Il y a eu un grand débat sur le mi-temps sportif. On passait d’une situation où l’on ne fait jamais de sport, à une situation où l’on en ferait à mi-temps. À l’arrivée, rien n’a été changé du tout.
Je veux qu’on laisse le choix, à toutes les familles de France, de l’école de son enfant. Choisir une école où l’on fera du sport, en doublant le nombre d’heures. Ou choisir une école où l’on fera un mi-temps sportif, même si son enfant n’a pas vocation à devenir professionnel.
Je conteste violemment l’idée que pour faire un mi-temps sportif il faut avoir l’espérance de devenir champion olympique ou professionnel. Il existe quantité de jeunes, dans des tas de familles, qui peuvent avoir envie de faire du sport autant que des autres matières, sans pour autant avoir l’espérance d’être un jour champion olympique ou d’être sélectionné en équipe de France.

Je veux que ce choix existe. À partir de ce moment-là, je veux que les établissements de mi-temps sportifs ne soient pas des fabriques à champions. Tant mieux si nous en avons, je n’ai jamais opposé sport d’élite et sport de masse, car l’élite est absolument nécessaire pour tirer l’ensemble du peuple vers un objectif et un rêve.
Mais je veux que le gosse qui n’a aucun talent pour le sport mais qui l’aime passionnément puisse en faire à mi-temps.

Source(s)

Rencontre avec les sportifs (15/04/07)

Education physique et sportive

Nous devons reconstruire une école où le sport soit considéré comme une discipline fondamentale parce que le sport est une morale de l’effort et une éthique. Parce que le sport c’est le dépassement de soi et le respect des autres.

Source(s)

Discours Maisons-Alfort (02/02/07)

Sport

Je ferai en sorte que l’école consacre plus de temps au sport.

Je veux rendre au sport la place qu’il mérite. Je ne veux que l’on se passionne simplement pour le sport quand il y a une Coupe du monde, qu’elle soit de football ou de rugby, quand il y a un Championnat du monde d’athlétisme ou quand un boxeur fait des exploits.
Je veux rendre sa place au sport dans notre société du 1er janvier au 31 décembre. Comment faire, comment y arriver ?

Je pense que tout passe par l’école. (…) Donc on change la logique de l’école, en doublant le nombre d’heures, en augmentant les coefficients, en permettant aux familles de choisir un mi-temps sportif et en démontrant qu’avec un mi-temps sportif on peut quand même faire de grandes études, que non seulement ce n’est pas un handicap, mais que ça peut être une chance.
On donne les moyens aux fédérations de professionnaliser leur gestion.
On récompense les bénévoles dans tous les clubs amateurs si importants pour notre pays en leur donnant des points de retraite. Le bénévolat, ce n’est pas simplement une question d’argent, mais de considération. Pour que celui qui a consacré 20 ans à son club de sa région ne se dise à la fin de sa vie qu’en plus on ne lui a pas dit merci.
Mais cela vaut aussi pour les jeunes lors de leurs examens de passage.

J’aimerais vous dire un mot à propos d’un sujet qui vous préoccupe : le ministère des Sports.
Je veux prendre mes responsabilités et j’ai beaucoup réfléchi à cette question.
Naturellement, le mouvement sportif est attaché à un ministère des sports. D’ailleurs, c’est un grand classique français, chacun considère qu’il y a trop de ministres, mais chacun veut le sien…
Le rôle de la politique n’étant pas de nier les contradictions, mais de les surmonter. Il y aura donc un ministère des sports, dédié aux sportifs, mais je veux inscrire ce ministère dans un pôle de compétences où j’y mettrai également la santé.
Car je conteste l’idée que le sport soit associé à la jeunesse. Le sport, ce n’est pas que la jeunesse, c’est toute la France. Lier jeunesse et sports, c’est nier la pratique sportive.

Je veux que celui qui porte le sport puisse également débattre et porter d’autres enjeux comme celui de la santé. Quelle est la signification de mettre le titulaire de la santé d’un côté et celui du sport dans un autre ? À quoi sert le sport, s’il ne sert pas à améliorer, à porter, à développer la santé des Français et pas simplement des jeunes français ?

Source(s)

Mon Projet
Rencontre avec les sportifs (15/04/07)"